Michel Volkovitch

Pages d'écriture

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La mort hante la plupart des livres et des films et des vies. Il fallait bien qu'elle soit un jour notre thème du mois.

Dans les cent-vingt-quatrièmes BRÈVES, l'héroïne de Taylor et le père de Desarthe rendent l'âme et le petit roi de Lichtenberger croise la camarde dès l'enfance. Meurtre et suicide chez Chenal. L'exil chez Hamelin ou chez Gray, pire que le trépas. Plus beauf que les beaufs de Davodeau, tu meurs. On est mort de peur avec Van Warmerdam, mort de rire avec Pétillon ou Gallienne. Tiens, Toussaint sans macchabées. Le retour des saisons, chez Simon, brasse inlassablement vie et mort. Bergounioux ressuscite Marx et Berl l'espérance. Hersant nous mène au paradis.

Rituel funèbre dans le JOURNAL INFIME («Forêt ultime»).

Dans le CARNET DU TRADUCTEUR («Le français d'éditeur (1)»), on massacre le français.

COUPS DE LANGUE : une virgule en trop peut tuer une phrase («Virgules sautées»).

Le ridicule, quant à lui, ne tue pas — heureusement pour Gary Yourofsky, notre ANDOUILLE DU MOIS («Andouille végétalienne»).

Chez la plupart des poètes grecs, les vivants conversent avec les morts ; c'est le cas de notre POÈTE DU MOIS, Pavlìna Pamboùdi, future invitée de l'anthologie Poètes grecs du 21e siècle (vol. 3).

Notre PUB (Monsanto 9) célèbre l'un des plus grands tueurs de notre monde moderne.

L'ANNONCE veut contribuer à la survie des abeilles.

Vous trouvez ce site mortel — au vieux sens du terme ? Envoyez vos commentaires assassins à michel.volkovitch@wanadoo.fr. On se tue à vous le dire : nous répondons aux critiques par un silence de mort.




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les œuvres complètes de notre Andouille du mois.

N.B. Quand on pose la souris sur une image du site, en principe, un texte apparaît...


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