Michel Volkovitch

Pages d'écriture

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En septembre 2012, sur volkovitch.com, la tendance est au culte des ancêtres.

Les cent-huitièmes BRÈVES saluent d'abord avec tendresse grand-père Neanderthal, avant de retrouver chez Giono les paysans de jadis dans un bourdonnement d'abeilles signé Maeterlinck. Visite annuelle au cher tonton Dhôtel. On rencontre un vieux roi chez Khazanov. Et voici, chez Nicholson Baker, Adam et Eve au jardin d'amour. En s'efforçant de lire James, on se sent terriblement primitif. Le cinéphile, homme des cavernes obscures, se nourrit de Perry, Davies, Duvivier, Demy...

Le JOURNAL INFIME («Collines fugitives») traverse une France immémoriale.

L'ANDOUILLE DU MOIS ? Un vieux monsieur pleurant sur le français de ses aïeux («Andouille boomerang»).

Le COUP DE LANGUE s'enivre de nasales, que Neanderthal, dit-on, affectionnait («Où l'on réentend [an]»).

Le CARNET DU TRADUCTEUR, lui, évoque une maladie ancestrale des traducteurs («Vêtir ceux qui sont nus ?»).

«Je suis né en Égypte en 200 av. J.C.», nous dit le POÈTE DU MOIS, Alèxandros 'Issaris.

La PUB mensuelle règle son compte à Darwin dans les siècles des siècles (Religion 7).

L'Homme est grand et Neanderthal est son prophète, l'ANNONCE le prouve.

Vous le trouvez sénile, antédiluvien, ce site avec ses neuf ans d'âge ? Envoyez vos projets de rénovation à michel.volkovitch@wanadoo.fr, ils vieilliront des milliers d'années dans nos archives.

N.B. Quand on pose la souris sur une image du site, en principe, un texte apparaît...

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