Michel Volkovitch

Pages d'écriture

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Suis-je seul à l'éprouver ces derniers temps, cette impression de folie diffuse dans le corps social ?

Perte d'identité dans le JOURNAL INFIME («Mère indigne»).

Paranoïa et pétage de plombs de notre ANDOUILLE DU MOIS («Andouille masquée»).

Lire fait un bien fou, c'est vrai, mais dans les PAGES D'ÉCRITURE, les soixante-dix-septièmes, ça yoyotte sec ! Noiville analyse l'égarement collectif des patrons de l'économie, maîtres du monde ; Brasillach perd la boule au fil des années 30 ; le héros de Thibaux parle avec un fantôme ; ceux d'Errera et Cathrine, en pleine déprime ; Sagan, ça ne va pas fort non plus ; Michaux bat la campagne ; la Dame de pique de Tchaïkovski, carrément azimutée. La Lulu de Davodeau, heureusement, a juste un petit grain, et deux vieux sages, La Fontaine et Lévi-Strauss, nous ramènent à la raison. Côté cinéma, Carole et moi toujours dingues de Wilder, et séduits par les cinglés de Quine.

Retour sur les dix années folles («Mauvaises notes 2») d'un zinzin de la ZIZIQUE.

La neurasthénie d'Ovide traduite par Darrieussecq («Tristes Pontiques») dans CARNET DU TRADUCTEUR.

COUPS DE LANGUE : le délire interprétatif continue («Sons à foison») avec pour victimes Saint-Simon, Nadaud, Thibaux et Grobéty.

DOUZE JEUNES POÈTES GRECS : Nikòlas Evandinos «entre en marchant dans le jardin des fous».

La PUB et l'ANNONCE reviennent sur certaines formes de maladie mentale très actuelles, quoique éternelles.

Tu souhaites écrire, ô volkonaute, à michel.volkovitch@wanadoo.fr pour dire que sur ce site on est chtarbé grave ? Psychose toujours ! On dément !

N.B. Quand on pose la souris sur une image du site, en principe, un texte apparaît...

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