En octobre, malgré l'ambiance du pays plutôt pesante, un vent léger nous soulève, envolons-nous.

Le JOURNAL INFIME lève les yeux vers le ciel et ses curieuses machines volantes («Chute d'hélicoptère»).

Le COUP DE LANGUE propose un moment planant : la (re)lecture des romans de Jean Echenoz («Où Echenoz donne des noms»).

Dans le CARNET DU TRADUCTEUR("Sourds"), où l'on cherche à transcrire les noms étrangers, certains se montrent bien légers et d'autres assez lourds...

L'humour de l'ANDOUILLE DU MOIS («Andouille ministérielle») pesant des tonnes, nous collons ce butor dans un de ces vols charters qu'il affectionne.

Le premier de nos DOUZE JEUNES POÈTES GRECS, le mois dernier, s'appelait Anghelàkos, le deuxième a pour nom Angelis, ils n'ont pas de grandes ailes dans le dos mais leurs poèmes feront léviter, on l'espère, les amateurs.

La PUB DU MOIS prend de la hauteur, comme toujours (LIRE 13), et l'ANNONCE nous emmène en ballon avec l'aérien cinéaste Michel Deville.

Le même Deville, également poète, nous offre ses vers ailés dans les soixante-treizièmes PAGES D'ÉCRITURE. Autour de lui, Dupré fait son numéro de voltige, Laurrent s'envole pour l'Italie et le septième ciel tandis que le héros de Beck, filmé par Melville, fait son chemin vers des cieux plus austères. Carrère, entre-temps, s'élève de livre en livre. La Fontaine promène ses volatiles, Herzog se prend pour un corbeau, Frank papillonne, d'Indy n'est pas un aigle et pour échapper aux vilains poulets qui nous encerclent on prend l'air avec les films d'Amaouche, Souleiman et Wilder, notre nouveau cinéaste-phénix.

Vous trouvez que tout ça vole bas ? Traitez-nous de tous les noms d'oiseaux ! michel.volkovitch@wanadoo.fr accueillera vos cris d'orfraie d'un cœur léger, serein.


N.B. Quand on pose la (chauve-)souris sur une image du site, en principe, un texte apparaît...


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Vous avez gagné un superbe prix :
les œuvres complètes de notre Andouille du mois.

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