Juillet ? C'est le Tour de France !

Oubliant ce que le cyclisme est devenu, cédant à une nostalgie un peu cucul, honorons encore cette institution riche en souvenirs.

Dans les soixante-dixièmes PAGES D'ÉCRITURE, le jeune Prébois s'enfile deux Tours deux années de suite, plus un Giro et une Vuelta. Deville toujours fringant dans sa 11e étape, Almodovar en forme lui aussi, Cadiot puis Matheson attaquent, Vargas mène la chasse, Alliot-Marie prend une gamelle à Tarnac, Vittorini s'envole dans la montagne, Molière triomphe à Strasbourg et Dany prend le maillot vert. Le vétéran Massenet, juste un peu poussé par Goethe, n'est toujours pas lâché ! La petite reine, morte ? Non, dixit Montherlant.

Étape bretonne dans le JOURNAL INFIME («Nod'Even, notre Eden»).

Dans le COUP DE LANGUE («Et encore»), passent les cadors de l'équipe de France : Simon, Michon, Modiano, Echenoz et le brillant Suisse Bouvier, suivis par le trio de rêve («Wolfgang, Dieu et Schmitt») de L'ANDOUILLE DU MOIS.

Lâché, loin derrière, un Belge étrange (CARNET DU TRADUCTEUR, «Traducteur de légende»).

Le POÈTE DE L'ANNÉE, Andrèas Embirìkos, infatigable, conserve le maillot du meilleur grimpeur après ses exploits répétés dans le mont de Vénus — pardon : d'Aphrodite.

Dans COURS TOUJOURS («Blessé»), le coureur ne peut plus courir. Vingt dieux, c'est pas le moment !

La PUB et l'ANNONCE du mois fournissent une digne chute à ce cycle grandiose. (On salue au passage le coup de crayon génial de Franquin.)

Ceux qui n'ont pas aimé peuvent toujours nous écrire (michel.volkovitch@wanadoo.fr, comme d'hab). Les cinquante premières lettres d'insultes recevront une casquette jaune en papier et un 45 tours d'Yvette Horner.


N.B. Quand on pose la souris sur une image, en principe, un texte apparaît...


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