Visiblement, le rédacteur a du mal à se remettre après la baffe du 6 mai. Les quarante-cinquièmes PAGES D'ÉCRITURE, malgré de pathétiques efforts, le ramènent sans cesse à son idée fixe : il voit des nains malfaisants partout. Dans les livres fraîchement parus de Rachid Djaïdani et de Jean-Marie Laclavetine, moins chez Henri Calet et Jean-Henri Fabre, mais la Princesse de Clèves elle-même ravive le sarkome purulent ! Répit avec une BD de Moebius, les films de Jacques Demy ou l'adieu à feu Jean-Pierre Cassel, mais rechute à cause d'Emmanuelle Cuau.

Musique classique au JOURNAL INFIME. Là au moins on sera tranquille : on voit mal le petit président écoutant Debussy...

Juin, saison des examens. Dans MES ÉCOLES, rubrique ÉDUQUONS, nous nous mettons dans la peau du Sphinx : tout sur ses manies, ses états d'âme, ses fantasmes.

Dans les COUPS DE LANGUE, sous la loupe, encore une phrase bien torchée, signée Robert Le Bidois.

CARNET DU TRADUCTEUR : toujours l'obsession du bref. Le traducteur taille son texte comme le jardinier sa haie.

MADE IN GREECE a scandaleusement tardé avant d'accueillir Mihàlis Ganas, l'une des grandes voix de la poésie grecque actuelle. Le voici.

Le POÈTE DE L'ANNÉE : Nìkos-Alèxis Aslànoglou, 10e épisode.

Dans les ARCHIVES du JOURNAL INFIME, «Tempête sur mes forêts», retour sur les bois franciliens dévastés il y a sept ans.

Les PUBS résument l'actualité : quand la vie devient dure, il reste la lecture... (PARTIS POLITIQUES 6 et LIRE 10.)

Pas d'accord, mécontents sur un détail ou sur l'ensemble ? Votre message à michel.volkovitch@wanadoo.fr sera décortiqué dans de prochains COUPS DE LANGUE. Soignez votre style !

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